mercredi 30 juin 2010

Douglas inside

A noter ici que la ranger de galets supplémentaire entre l'arase et la charpente n'est pas faite. Le cadre bois de la fenêtre du fond n'est d'ailleurs pas monté non plus.



Le VELUX 134x98 donne beaucoup de lumière dans la pièce. Le plafond va rester haut pour profiter pleinement de la charpente en douglas apparent.

Les doublages, c'est parti...

Ci-joint les briques supposées aérer les doublages en liège. Pour rappel, le vide entre les briques plâtrières et le mur est d'environ 6cm pour être rempli de liège en granulat. Un concept un peu spécial qui ne produira peut-être aucun effet !



Les doublages sont donc d'abord monté jusqu'à 1m20 pour laisser l'électricité passer avant de remplir de liège. Le haut sera gavé à raz par le grenier puisque le plafond s'arrêtera avant les murs pour être totalement désolidarisé des parois et prévenir ainsi la propagation des bruits d'impact.

Les cadres

L'idée des cadres vient du concept d'isolation et plus particulièrement du doublage. En effet, comment monter des briques au-dessus des fenêtres ? Mais pas seulement. Comment aussi changer les fenêtres plus tard, sans avoir à reprendre les finitions de toute la pièce, notamment les angles autour des fenêtre ?



Les solives ont été récupérées lors de la pose du plancher. Une fois décapées au chlorure de methylène (beurk!), elle ressortent nickel. Cependant, ce n'est pas sans effet indésirable : le bois est (re)devenu très tannique et ça n'a pas été facile de trouver un traitement adapté. Finalement, après de nombreux essais, le produit retenu a été le saturateur incolore en phase acqueuse Xylin de chez Durieu, avec au préalable un coup de TMU84 pour les bêbêtes et la moisissure.



Ci-dessus le montage sous presse...



... et la pose. Notez la rangée de galets qui jointe l'arase et la toiture.

~ oooOooo ~


(plus tard...)

La maçonnerie avance



La porte, la pierre


Ouf internet !

On n'avait plus internet ! Je profite d'une connexion furtive pour poster qq photos.